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« Le livre n’est pas. La lecture le crée, à travers des mots créés, comme le monde est lecture recommencée du monde par l’homme. »
Edmond Jabès / Le livre des questions
Les récits de l’Orient portent en eux la sagesse, les traditions et la profondeur de l’expérience humaine. Cette littérature, véritable âme d’un peuple, évolue avec le temps tout en restant vivante. À travers ses histoires, elle préserve l’identité culturelle, tisse des liens entre les générations et façonne la mémoire collective d’une manière aussi unique que puissante.
“Dans toute poésie, il y a une lutte secrète entre l’infini du sentiment et le fini de la langue dans laquelle cet infini se renferme sans se limiter.” Jules Barbey d’Aurevilly / Les Poètes
Chaque année, le 8 mars, la Journée internationale des femmes est célébrée à travers le monde dans des contextes variés. À l’ONU, comme dans de nombreux pays, cette journée est même devenue un jour férié national. Ce moment fort permet aux femmes de tous horizons, souvent divisées par des frontières, des différences culturelles, économiques ou politiques, de se rassembler et de revendiquer leurs droits. En se tournant vers le passé, elles peuvent mesurer le chemin parcouru : plus de 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et le développement. Une tradition qui témoigne de la persévérance et de l’unité des femmes, malgré les obstacles.
« Créée en 2003 aux Pays-Bas, cette journée a été voulue par ses initiateurs comme étant « la journée la plus positive dans le monde ». L’être humain a besoin de reconnaissance, d’être mis en valeur pour se sentir bien. Alors, à chacune et à chacun son petit compliment envers ses voisins, son (sa)collègue, un membre de sa famille, ou pourquoi pas à une personne inconnue au hasard d’une course, dans une file d’attente. »
Source : https://www.journee-mondiale.com/319/journee-mondiale-du-compliment.htm
« Avoir du courage ne veut pas dire que nous n’avons pas peur. Avoir du courage et faire preuve de courage signifie que nous affrontons nos peurs. Nous pouvons dire : Je suis tombée, mais je vais me relever. »
Maya Angelou, romancière, poète, essayiste et militante afro-américaine.
« En proclamant le mois de février Mois de l’histoire des Noirs, la province de l’Ontario reconnaît l’importante contribution que les Canadiennes et Canadiens noirs ont apportée au tissu économique, social, politique et culturel de l’Ontario. Le Mois de l’histoire des Noirs est l’occasion de se souvenir de la riche histoire de l’Ontario, de la célébrer et de la transmettre aux générations à venir. » Source : https://www.ontario.ca/fr/lois/loi/16b01
« Heureuse la famille qui, dans l’union la plus pure, coule au sein de l’amitié et de l’amour ses paisibles jours, et semble n’avoir qu’un cœur à tous ses membres ! Ô innocence des mœurs, douceur d’âme, antique simplicité, que vous êtes aimables ! » Jean-Jacques Rousseau Artiste, Auteur d’ouvrages philosophiques, écrivain, Philosophe (1712 – 1778)
« Bientôt Noël…Cette jolie période de l’année où l’on songe plus au passé ni au futur mais rien qu’aux présents! » Antoine Chuquet
L’éducation aux droits humains dépasse le cadre d’une simple leçon ou d’une journée commémorative : elle constitue un processus essentiel pour permettre à chaque individu de vivre en sécurité et avec dignité. En cette Journée internationale des droits humains, poursuivons ensemble nos efforts pour transmettre aux générations futures une culture imprégnée de ces droits et pour promouvoir la liberté, la sécurité et la paix dans le monde entier.
En 1950, l’Assemblée générale des Nations Unies a invité tous les États et toutes les organisations internationales concernées à célébrer, chaque 10 décembre, la Journée des droits humains [résolution 423 (V)]. Cette date commémore l’anniversaire de l’adoption, en 1948, de la Déclaration universelle des droits humains par l’Assemblée générale. Ce texte, qui n’était à l’origine, en 1948, qu’une déclaration non contraignante adoptée par 58 États membres des Nations Unies constituant alors l’Assemblée générale, est devenu – à la lumière des atrocités de la Seconde Guerre mondiale – une pierre angulaire du droit international en matière de droits humains.
« Rien n’est plus important que de bâtir un monde dans lequel tous nos enfants auront la possibilité de réaliser pleinement leur potentiel et de grandir en bonne santé, dans la paix et dans la dignité. » Kofi A. Annan, secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies
C’est en 1996 que le 20 novembre devient la « Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l’enfant ». Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l’enfant de 1989.
La Convention Internationale des Droits de l’Enfant est un texte de 54 articles, adoptée par les Nations Unies le 20 novembre 1989 qui affirme qu’un enfant n’est pas seulement un être fragile qu’il faut protéger, mais que c’est une personne qui a le droit d’être éduquée, soigné, protégé, quel que soit l’endroit du monde où il est né.
Les représentants des communautés scientifiques à travers le monde animentde nombreuses manifestations et discussions à l’occasion de la célébration dela Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement.
Décidée par la Conférence générale de l’UNESCO, la Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement est un événement annuel célébré pour rappeler l’engagement pris à l’occasion de la Conférence mondiale sur la science de sensibiliser l’opinion publique à l’importance de la science.