Je double mes amis à trottinette sur mes patins à roulettes. Je file, je fonce comme une fusée. J'ai tant à explorer!
Quand je chevauche ma bicyclette, que je dévale une énorme côte, j'ai l'impression de m'envoler. Je suis Pégasse, le cheval ailé. La joie de vivre est contagieuse. Viens rire et t'amuser avec Henri.
(Tiré du site de l'éditeur.)
« Et puis, il y a moi, Henri, le plus petit.
Mais, cette année, j’ai beaucoup grandi!
Je sais lire et écrire en lettres attachées. » (p. 11)
« Nous passerons la soirée
à découper des flocons
dans du papier crépon. » (p. 64)
« Marco est plus grand que moi,
Il a les yeux noisette
et les cheveux feuille d’automne. » (p. 14)
« Je suis dans ma chambre.
Yeux fermés, bouche cousue,
je joue à la statue.
J’écoute ma maison bavarde. […]
Je crois que je viens d’entendre […] » (p. 52)
« En regardant mieux,
je vois des gnomes et des lutins
qui dansent une farandole
en lançant des étincelles
pour taquiner le ciel. » (p. 36)
« Mon cœur est lourd comme une pierre
quand ma sœur a du chagrin. » (p. 22)
« J’ai lancé mon cerf-volant
et le vent vorace l’a avalé
en une seule bouchée. » (p. 51)
« Saison après saison,
Nos cœurs battent à l’unisson.
J’aime vivre dans ma famille cocon. » (p. 22)
« Je saute, je saute.
En bas, en haut,
plus haut, plus haut,
encore plus haut. » (p. 54)
« Dans ma famille, c’est fantastique,
nous sommes maintenant six!
Deux bébés ont grandi
dans le ventre de maman. […]
Un frère, une sœur, un double bonheur. » (p. 70)
« Moi je souhaite vraiment
que toutes les saisons de ma vie
débordent de fantaisie,
que tous ceux que j’aime
soient parfaitement heureux,
que tous les peuples de la Terre
vivent en harmonie. » (p. 66-67)
« Marco, c’est mon ami.
Nous nous racontons tout. […]
Nous sommes de vrais amis.
Ensemble, nous sommes heureux. » (p. 14-15)