La tempête fait rage dans le cœur de Marie-Lune. À quinze ans, elle a vécu trop d’émotions en trop peu de temps! Heureusement, il y a Antoine. Lorsqu’elle plonge dans ses bras, elle a moins mal. Mais un nouveau choc bouleverse sa vie et Marie-Lune doit prendre de graves décisions…
(Tiré de la quatrième de couverture du livre.)
« Ma mère est morte le mois dernier. Les gens disent que je suis en deuil. C’est faux! Je suis en désastre. » (p. 14)
« – Antoine… je ne veux pas être enceinte. Je ne veux pas avoir un bébé. Je pense que je devrais me faire avorter. » (p. 37)
« Jean n’a rien dit. Il m’a étendue sur la banquette arrière et m’a ramenée à la ferme de son père. » (p. 56)
« Léandre m’a demandé pardon pour les mots durs qu’il m’avait lancés en apprenant que j’étais enceinte. » (p. 61-62)
« Au début, Antoine ne m’a pas crue. Je lui ai répété plusieurs fois ce que le Dr Larivière m’avait expliqué. » (p. 37)
« Elle dit que j’ai le choix. Mon œil! Garder mon bébé ou le donner! » (p. 99)
« J’ai senti le corps d’Antoine trembler quand il m’a embrassée. Et je savais que ce n’était pas de froid. Il n’a rien dit, mais dans ses yeux, c’était écrit. » (p. 30)
« Quelqu’un en moi l’a inondé d’injures. Mais pendant ce temps-là, mes jambes couraient jusqu’à lui. Les insultes ont fondu dans la chaleur de ses bras et les restes de colère se sont effrités avant de voler en poussière. » (p. 112)
« Ton père est une forêt, moustique. Invitante, changeante. » (p. 109)
« Les grands sapins restent toujours droits. Ils sont têtus comme toi. Ils ont peut-être peur, mais ils ne s’effondrent pas. » (p. 134)
« Ses yeux s’approchent. Il m’embrasse. C’est bon comme une pluie dans le désert. » (p. 151)
« Toute la nuit, je m’étais laissé torturer. D’un côté, l’envie folle de tout effacer. Redevenir libre. Tout de suite! De l’autre, un désir immense et complètement maboule : inventer une famille. » (p. 43)
« Sylvie était en quête d’un chemisier en denim pour son prochain chum, dont l’identité nous est encore inconnue. » (p. 43)
« – J’ai vingt-quatre heures pour décider. Je t’aime, Antoine. Mais j’ai quinze ans et le cœur en miettes. Un bébé, c’est compliqué. » (p. 38)
« – Wow! Super, Marie-Lune! Est-ce que je peux être la marraine? Même si je n’ai pas de chum? » (p. 41)
« Et moi, dans tout ça? Tu penses que c’est facile? Au garage, ce n’est pas un party. » (p. 83)
