Le mystère des terres noires
Deux jeunes garçons partent en kayak avec l’intention de découvrir l’énigme qui les hante depuis deux ans. Une jeune touriste veut être de la partie. Sera-t-elle la bienvenue?
(Tiré du site de l’éditeur.)
Deux jeunes garçons partent en kayak avec l’intention de découvrir l’énigme qui les hante depuis deux ans. Une jeune touriste veut être de la partie. Sera-t-elle la bienvenue?
(Tiré du site de l’éditeur.)
« Olivier était aussi grand que Samuel, sinon plus. Il portait toujours ses cheveux bruns coupés très court et avait dû passer beaucoup de temps dehors durant l’été, car il était encore plus brun que les années précédentes. Samuel, lui, avait les cheveux plus longs qu’à l’accoutumée. » (p. 20)
« Alix venait chaque année passer deux semaines à l’auberge avec ses parents. Elle était du genre "je sais tout" et "c’est à mon tour", et les garçons redoutaient son arrivée chaque fois. » (p. 17)
« Le vieux Jopi était toujours vivant et habitait dans une petite maison en bordure de la rivière, à environ deux kilomètres en amont. » (p. 51)
« Olivier n’était pas convaincu que c’était une bonne chose de mêler Alix à leur histoire, de l’inclure dans leurs recherches. » (p. 47-48)
« Ce matin-là, une légère brume s’était installée dans l’air et donnait au paysage une atmosphère presque mystérieuse. On aurait dit qu’il fallait s’efforcer de ne faire aucun bruit, que le moindre soupir aurait été entendu à un kilomètre à la ronde. » (p. 53)
« Marie-Jeanne retourna à sa cuisine en souriant. D’après cette réponse, elle avait bien l’impression que leurs plans de recherche au trésor étaient remis à plus tard. Durant le reste de la journée, les trois jeunes s’affairèrent chacun de leur bord. » (p. 77)
« – Sapristi! la journée va être longue… commenta Olivier avec un roulement des yeux. » (p. 17)
« Pas de cinéma, pas de centre commercial, pas de maison des jeunes. » (p. 19)
« Olivier faisait la grasse matinée, mais Samuel avait des fourmis dans les jambes et ne pouvait rester en place. » (p. 28-29)
« Les deux garçons étaient repartis déçus. Ils en voulaient presque à la gentille dame de ne pas leur avoir dit que le coffre appartenait probablement à des corsaires ou à des pirates qui l’auraient enfoui avec la clé de peur de se faire voler leur fortune par d’autres hors-la-loi. » (p. 13)
« Tu veux longer les terres noires ou bien contourner l’Île-aux-Sternes? » (p. 8)
« Samuel et Olivier avaient écouté le récit de Cyriac avec le plus grand intérêt et lui avaient demandé s’il pensait que les terres noires en question pouvaient être celles situées à l’embouchure de la rivière Kouchibouguacis. » (p. 15)
Référents culturels acadiens.
« – Tu te souviens de notre recherche aux archives du Centre d’études acadiennes? Nous avions retracé l’édition du journal dans laquelle était paru cet article. » (p. 27)