Iphigénie en trichromie
Deux pièces de théâtre, Iphigénie en trichromie et La colère d'Achille, présentées en un recueil, qui s’inscrivent dans le prolongement du « questionnement métaphysique » que l'écrivain Michel Ouellette a entrepris en 2002 avec Le testament du couturier.
Ainsi, dans Iphigénie en trichromie, Ouellette reprend le mythe de la princesse mycénienne dont le sacrifice permet aux vents favorables de se lever et à la flotte achéenne de se rendre à Troie afin d'y libérer Hélène. Dans sa relecture du mythe, Ouellette privilégie une perspective féministe afin de raconter la fin de la société matriarcale.
(Adapté de la quatrième de couverture du livre.)