Haïkus de mes cinq saisons
Pour évoquer sa terre ontarienne et parfois le bout du monde, Évelyne Voldeng a choisi le haïku, cette forme poétique minimaliste d’origine japonaise.
Dans la forêt où elle habite, elle a saisi dans le printemps, l’été, l’automne, l’hiver et la saison imaginaire, des moments privilégiés de l’impermanence du monde et de la fugacité des choses.
(Tiré de la quatrième de couverture du livre.)