Des briques pour un vitrail
Ainsi, cet enfant terrible des lettres manitobaines, voire des lettres francophones en situation minoritaire, qu’est Charles Leblanc fait preuve d’une redoutable exigence de lucidité et insiste sur l’importance de ne jamais trahir son rêve : justice sociale ou amour. C’est pourquoi les briques dont il est question dans DES BRIQUES POUR UN VITRAIL sont non seulement des instruments de révolte pour briser diverses formes d’un sacré aliénant, mais l’essentielle et modeste composante avec laquelle peut se construire une maison finalement vivable pour chacun.
(Tiré de la quatrième de couverture du livre.)