Personnages principaux, des adolescents et adolescentes, différents dans chaque récit (p. ex., Zac et sa sœur Louise, leurs amis Alexa et Claude dans Tous pour un!, Nathaniel et son cousin Sasha dans Les prisonniers de la vague, et Zoé dans Zoé et le flambeau olympique), vivant des aventures extraordinaires, tous faisant preuve de courage et d’ingéniosité lorsqu’ils se voient confrontés à des défis de taille; personnages secondaires aidants (p. ex., le grand-père, les parents, le frère aîné Rémi, l’ermite vietnamien).
« – Dis-le, Grand-papa!
– Viendriez-vous dans mon avion de brousse, à mon camp de chasse au lac Kirba, dans le Grand Nord de l’Ontario?
– Euh… toute la semaine? demande Louise.
– On partirait dimanche matin pour revenir le samedi suivant. Le grand air, le ski de fond, la raquette, la chasse, la trappe, enfin des vacances toutes autres que celles passées ici, à Ottawa!
Les jeunes se regardent, pensent la même chose. Louise, plus impulsive, lance :
– Moi avec mon chum et Zac avec sa "blonde"? demande-t-elle en regardant son grand-père d’un air ratoureux. » (p. 6)
« Elle lève les yeux vers le nuage, puis vers la baie. "Où sont Nathaniel et Sacha?"
Les garçons, qui se prélassent dans le canot pneumatique, ne remarquent pas le changement soudain dans la force et la direction du vent. Ils rient en sentant l’agitation de la vague. La brise du sud-est a poussé leur embarcation vers le large. Nathaniel, le premier, remarque la grande distance qui les sépare de la berge. Les garçons tentent d’abord d’attirer l’attention en s’époumonant. » (p. 41)
« Quel soulagement! La flamme olympique était éteinte, mais le flambeau était en parfaite condition. Il restait tout de même un espoir à la paix.
– Merci beaucoup, je m’appelle Zoé, je dois absolument retourner le plus vite possible chez moi, on m’attend, la flamme, le relais du flambeau, le symbole, les Jeux olympiques, la paix entre les peuples…
[…]
– Je m’appelle Tao. J’ai quitté mon pays, le Vietnam, il y a longtemps pour enfin vivre en paix au Canada. La forêt me permet d’avoir la paix… » (p. 67-68)
Texte généralement pleine page; illustrations en noir et blanc, dans les deux derniers récits, permettant d’établir un lien direct avec le texte et servant d’appui à la compréhension de la lecture; table des matières placée au début de l’œuvre; chaque récit est précédé d’une illustration pleine page; motifs reliés à la thématique de chaque œuvre agrémentant les bas de page; courte biographie des trois auteurs sur la quatrième de couverture; présence d’éléments graphiques facilitant l’interprétation de l’œuvre (p. ex., guillemets, tirets, points de suspension, caractères italiques, astérisques indiquant un changement dans le lieu et le temps).
« La concentration au moment d’évaluer ses cartes, l’aventure de la mise – sans oublier le bluff -, l’excitation de l’enjeu. Et, au cours du jeu, il est permis d’augmenter sa mise première… de mitaine à gant, à chausson… "Et pourquoi pas à bottine!" s’exclame Zac qui se sent aventureux. On rit quand on en découd avec l’adversaire; on se plaint d’avoir eu de la malchance. Enfin les heures s’écoulent vite en jouant à ce jeu si simple, si convivial… "Et ça, sans gadget électronique," songent, tour à tour, les jeunes. » (p. 14)
« – Wow! Quel remous! Oui, l’eau semble verte… d’où son nom, j’en suis convaincue, remarque Alexa. » (p. 17)