Être le capitaine d’un astronef n’est pas toujours un cadeau. Samuel est seul maître à bord du Christophe, mais il doit maintenant travailler pour payer ses factures. Il accepte donc un contrat qui va lui faire retrouver la redoutable Corinne Aragaki. Ce n’est qu’un début. Il va ensuite voler au cœur du danger, se frotter à des ennemis armés jusqu’aux dents et sauver une princesse. Toujours sans se faire payer...
(Tiré de la quatrième couverture du livre.)
« L’Excellentissime Ambroise Cochin n’avait pas l’air à sa place dans le salon du petit hôtel […] le diplomate était habitué au luxe des ambassades et des palais planétaires » (p. 18)
« L’ambassadeur de la République savait-il que son assistante était la redoutable capitaine Corinne, pirate notoire? » (p. 20)
« L’après-midi, la princesse Yoshiko et sa cour avaient l’habitude de s’accorder un tour en bateau sur le lac Liming. » (p. 54)
« Autour de Bételgeuse, Samuel s’était découvert un talent inespéré pour le pilotage. Lui qui n’était doué en rien, ni plus fort ni plus beau ni plus intelligent qu’un autre, il pouvait faire tout ce qu’il voulait d’un astronef de quelques milliers de tonnes. » (p. 74-75)
« Yoshiko vacilla sur ses jambes. Cette fois, ce n’était pas la fatigue, mais l’émotion. Et le poids de toute une planète qui s’abattait sur ses épaules. » (p. 15)
« Samuel se retourna pour considérer muettement la jeune princesse de Tianjin. Son cœur se serra à l’idée de l’abandonner. » (p. 57)
« L’Empire préparait quelque chose de beaucoup plus ambitieux qu’une simple contre-attaque. » (p. 186)
« Quand l’adolescente essayait d’avaler, cela faisait si mal qu’elle trébuchait. » (p. 5)
« Un pincement de culpabilité lui coupait la respiration. Corinne était une jeune femme courageuse, intelligente, séduisante, mais il l’avait toujours tenue pour une jeune femme aux réactions plus sanguinaires que raisonnées. » (p. 87)
« Le Nou-Québécois haussa les épaules et il consulta son micrord. » (p. 18)
« Je demanderai aux autorités astroportuaires de nous assigner tout de suite un puits d’envol. » (p. 29)
« Le directeur était flanqué d’un assistant dont la carrure massive et la trogne butée laissaient deviner le métier de gardien en chef. » (p. 130)
« Si Samuel fut surpris de rencontrer un diplomate de Capitolia dans un cadre aussi douteux, son étonnement fut de courte durée. Sa seconde surprise de la journée effaça la première. Et le laissa bouche bée. » (p. 19)
« Des tronçons de poutrelles rompues virevoltèrent tels des fétus de paille. » (p. 61)
« L’air était mince et les sons mouraient vite dans l’immensité. » (p. 157)
« Les troupes de la Ligue portaient un uniforme vert feuille. Mis à part un pistolaser rangé dans un étui à la taille, ces étranges envahisseurs semblaient entièrement désarmés. » (p. 52)
« Cristofine était en mesure de diriger le Christophe sans aide, ce qu’elle faisait souvent. Elle avait l’intelligence nécessaire, mais il lui manquait le jugement requis dans les situations délicates. » (p. 81)