Roman mettant en scène deux personnages principaux, Sam Chicotte et son amie Alice qui, ensemble, vont tenter de retrouver et de libérer leur ami fantôme, Edgar; plusieurs personnages secondaires, dont Isabelle, la mère de Sam, Edgar, l’ami fantôme de Sam, Madame Kelleur, la voisine qui n’aime pas les fantômes, M. Grob, le propriétaire de la galerie, et son fils Peter.
« Sam Chicotte a huit ans. Il vit avec ses parents et son grand frère dans la maison que leur a léguée la vieille tante Chicotte. C’est en emménageant dans sa nouvelle chambre que Sam a fait la rencontre d’Edgar, un jeune fantôme. Sam est le seul à voir et à entendre Edgar. » (p. 5)
« Pour l’aider, il peut compter sur Alice, son amie et complice. Même si elle ne peut pas voir Edgar, Alice est prête à tout pour le protéger. » (p. 5)
« Leur voisine, la méchante madame Kelleur, se trouve dans l’atelier d’Isabelle. Depuis quelque temps, elle suit des cours de sculpture avec la mère de Sam. Les garçons en ont assez. Le fantôme ne peut plus se promener librement dans la maison. Lorsque la voisine et lui sont l’un près de l’autre, les deux frissonnent. Madame Kelleur sait alors que le fantôme est dans les parages. » (p. 7-8)
« La boîte, grosse comme un poing, semble lumineuse. Elle est attirante. Edgar, sans réfléchir, la touche du doigt. Aussitôt, un bref son d’aspiration se fait entendre.
Sam pousse un cri :
– NOOON!
– Qu’y a-t-il? demande Alice.
Quelques adultes se retournent et les observent. Sam chuchote en tremblotant :
– Edgar a disparu. On dirait qu’il a été aspiré…
– Regarde! La boîte est devenue toute noire. » (p. 21)
« La réponse qui s’affiche à l’écran les stupéfie. Le garçon lit :
– La Liberté éclairant le monde est inaugurée à l’entrée du port de New York le 28 octobre 1886.C’est la statue la plus colossale jamais construite.
– C’est la Statue de la Liberté…
– Est-ce que tu crois qu’elle pourrait redonner sa liberté à Edgar?
– Je ne sais pas, dit Alice, mais il faut tenter notre chance.
Sam contemple la boîte noire.
– On va te délivrer, Edgar. Je ne sais pas comment, mais on va te délivrer. » (p. 48-49)