La Grande Quête de Jacob Jobin, tome 3 – La pierre bleue

« Puis résonnaient les pas de Rosie, la fillette géante dont il avait fait sa petite sœur adoptive. » (p. 13)

« Zarcofo était agité. Ses yeux jaunes, étincelants de cruauté, roulaient en tous sens sans jamais se poser sur rien. » (p. 202-203)

« Jacob percevait les morsures du froid sans que sa volonté ou son courage soient atteints. Lui-même ne s’était jamais senti aussi déterminé. » (p. 241)

« Stéphane Laplante affichait un large sourire. […] Derrière ce masque rassurant se dissimulait un de ces êtres persuadés d’appartenir à une race supérieure […] C’était aussi un homme malsain. » (p. 277)

« Youriana pressa sa main dans la sienne. Il la quitta avec l’impression de ne plus exister déjà. » (p. 302)
 

« Tout autour de lui, Jacob découvrait de fabuleuses textures. Le roc semblait vivant. […] Jacob poussa un cri d’horreur en apercevant Maririana, la plus cruelle des sept sorcières qu’il avait dû affronter. » (p. 128-129)

« La décision s’imposait. Jacob Jobin, l’adolescent qui parcourait des mondes sur un écran à la recherche d’un Grand Vide Bleu, aurait choisi de garder la princesse avec lui. » (p. 321)
 

Narratrice omnisciente qui décrit l’action et nous révèle les pensées des personnages.

« Jacob sentit les mâchoires de fer d’un étau imaginaire se refermer sur lui. L’angoisse l’étreignait. » (p. 14)

« Les deux amis avaient travaillé ensemble durant près de dix heures, les yeux rivés à l’ordinateur, avant de tomber sur un article paru il y avait plus d’un an. » (p. 249)

« Pendant qu’il épiait cette vie secrète, le soleil de jour s’éclipsa soudainement. Sitôt obscurci, le ciel s’illumina de myriades d’étoiles et des essaims de lucioles emplirent la forêt. » (p. 145)

« – Libère les mille fougres les plus affamés, deux colonies de filifous et autant de guilledoux, ces sangsues détestables que je garde en réserve depuis trop d’années. » (p. 156-157)

« – Mais… j’ai une totale terrible trouille… Je ne suis qu’un tout petit gnome… Je ne sais pas me défendouiller du tout. » (p. 173)
 

« Théodore Jobin n’était plus qu’un pauvre sac de chair et d’os. » (p. 35)

« Depuis que le pouvoir des fées avait diminué, les roufs, les nains, les lutins, les gnomes, les farfadets et les géants avaient été forcés de redoubler d’ardeur pour satisfaire les caprices du sorcier. » (p. 84)

« Une rage dévastatrice venait de l’attaquer telle une nuée d’insectes sur un corps putrescent. » (p. 172)
 

« Encore secoué par ce qu’il venait de vivre, Jacob s’encouragea en songeant que le pic de Tar était désormais derrière lui et le château de la reine de plus en plus près. Il réussit à maintenir un bon rythme de marche sur un terrain peu accidenté, contourna deux montagnes et se retrouva devant la vallée des pierres debout. » (p. 69)

« Nous serons cachés derrière cette ligne de feu, prêts à attaquer. Au signal, les guerriers jetteront de la poudre étouffante sur les flammes. Nous foncerons alors sur les fougres avec toutes les armes que nous aurons pu réunir en exploitant l’effet de surprise. » (p. 99)

« Jacob scruta la paroi, allumé par un espoir ardent. Il aurait sacrifié beaucoup pour que le visage de Youriana s’imprime sur le roc. Il avait besoin de la voir. […]
Sans détacher son regard de la paroi, il laissa ses souvenirs dicter les premiers contours du visage tant aimé. » (p. 132)