Poèmes narratifs écrits en vers libres et organisés en strophes présentant l’univers d’une fillette de la ville (Florence) ainsi que l’univers de son cousin de la campagne (Frédéric).
« Samedi dernier, j’étais en ville / chez ma cousine Florence / pour la fête de son quartier. / À mon tour de l’émerveiller / avec les charmes et les beautés / de ma campagne en été. » (Poèmes des champs, p. 10)
« Ce soir, cousin Frédéric, / tu fais la fête avec moi / dans ma ville enchantée. / Samedi Prochain, / je serai chez toi à la campagne / pour un feu de joie. / Nous parlerons d’amitié / sous le ciel étoilé. » (Poèmes des villes, p. 48)
Textes qui traitent de thèmes divers (p. ex., famille, nature, amitié) selon les points de vue d’un personnage demeurant en ville et d’un autre demeurant à la campagne.
« Marguerite adore les roses, / les œillets et la lavande. / Son balcon est un jardin / sentant souvent le thym. / Elle fait pousser des tomates / à côté des poivrons doux. / Elle m’offre du persil / et souvent une rose aussi. […] Elle s’appelle Marguerite, / Marguerite au grand cœur. / Elle partage avec moi son bonheur. » (Poèmes de villes, p. 13)
« Ma sœur est encore petite. / Ses premiers pas / caresseront ces planches / avant d’explorer le monde. / Et, moi, je serai là / pour lui tenir la main / sur ce merveilleux chemin. » (Poèmes des villes, p. 14–15)
« Papa est un bon traducteur / mais un fermier amateur. […] Maman écrit des romans. / Elle cultive aussi des roses. […] Et moi, je suis un écolier, / ravi d’être en vacances. » (Poèmes des champs, p. 16)
« De l’herbe émeraude / comme celle d’Irlande, / des arbres joufflus / comme de bons gros géants, / des fleurs de toutes formes / en jupettes colorées, / des myriades d’insectes / dansant la sarabande, / voilà le décor grandiose / de notre fête champêtre. » (Poèmes des champs, p. 41)
« En deux minutes / […] enfants, parents / voisins, / Laura-Lou, / la petite sœur / de Florence / et Martin / son copain, / tous les invités nous entourent. » (Poèmes des champs, p. 44–45)
Poèmes rédigés à la première personne du singulier qui permettent une vision intime de l’univers des deux personnages.
« J’ai cependant appris / que je dois ouvrir les yeux, / car sur certains trottoirs / il pourrait y avoir, / des objets insolites, / des gens dangereux, / des animaux fougueux / qu’il faut que j’évite. » (Poèmes des villes, p. 20)
« J’ai beau observer, / je ne peux pas tout voir. / Je voudrais tout comprendre. / Je sais cependant / que j’aime grandir ici » (Poèmes des champs, p. 54)