Ô Saint-Laurent, le fleuve à son commencement
La poésie emprunte une route secondaire où l’auteure revendique le chant d’amour qui marche sous l’eau. Elle réclame le droit de dire ce fleuve en amont de Montréal, non pas l’infiniment grand mais l’infiniment oublié. La voilà complice d’une force transmise par ceux qui vinrent et passèrent d’île en île. Un hommage à la beauté, un cri du cœur… une recherche d’identité!
(Tiré de la quatrième de couverture du livre.)