C’est la catastrophe! L’horreur! La fin du monde! Moi, Alexis Dumoulin-Marchand, grand chevalier tueur de dragons, je suis effrayé. Pire, je suis au bord de l’agonie. Macaroni a complètement disjoncté! Dix jours sans ouvrir l’ordinateur ni la télé?!? Impossible, inimaginable… peut-être même mortel! Décidément, on dirait que mon professeur fait exprès d’avoir des idées nouilles…
(Tiré de la quatrième de couverture du livre.)
« Dix jours sans écran! C’est totalement impossible.
Je vais mourir. C’est certain. » (p. 14)
« Je cherchais quelque chose pour impressionner Katarina. Pour lui montrer que moi aussi j’étais capable de vivre sans télé. » (p. 37)
« Une panne d’électricité! Tout le quartier était touché. Les Schloupeurs se sont réunis chez Rosaline et j’ai proposé un grand jeu de cachette. » (p. 71)
« J’avais un sourire qui s’étirait jusqu’aux oreilles en rentrant dans la classe tellement j’étais de bonne humeur. » (p. 10)
« – Wow! C’est génial, Alexis! a déclaré Lucas. On commence quand? » (p. 49)
« En rentrant de l’école, j’avais quand même hâte de tuer quelques dragons sur l’écran de télévision. Au moment où j’allumais l’écran, devine ce qui est arrivé? » (p. 71)
« J’ai eu beau plaider, soupirer, gémir, me lamenter et presque pleurer, ma mère n’a pas bronché. » (p. 17)
« Et qu’a-t-elle trouvé, tu penses? Eh oui : le CD de Dragonia! » (p. 22)
« Elle pleurait assez fort pour réveiller les morts. » (p. 33)
« Tous mes amis m’observaient comme si je venais d’être élu premier ministre ou de remporter la coupe Stanley. » (p. 39)
« Mes amis et moi avons mis nos découvertes en commun. Henri et Émilie ont rapporté deux clés et une pièce d’un dollar. Lucas et Joachim étaient fiers de leur butin : une boucle d’oreille et… un soulier! » (p. 55-56)
« Ce matin, Macaroni a annoncé que l’interdiction d’écran était levée. Nous avons tous survécu à dix jours sans télévision, ni ordinateur, ni jeu électronique. » (p. 70)
