Léon le gentil géant aime les araignées d'une drôle de façon. Mais on est parfois bien surpris par plus petit que soi. Une rencontre, avec la jolie araignée Myrtille, bouleverse notre géant au point où il ne peut la manger.
(Adapté du site de l’éditeur.)
« Des araignées… C’est le repas préféré de Léon. » (p. 5)
« Myrtille le chatouillait avec ses pattes poilues. » (p. 11)
« Léon se sentait tout drôle. Il avait les jambes molles, la gorge sèche et le cœur en compote. » (p. 15)
« Léon a inspecté Myrtille. Il la trouvait vraiment jolie. Myrtille a roulé de grands yeux doux. Puis, elle a caressé doucement les gros doigts de Léon avec ses petites pattes poilues. » (p. 14)
« Léon cueille les araignées du bout des doigts. Il les inspecte et les laisse tomber dans sa bouche. Puis, il les écrabouille avec sa langue. » (p. 7)
« Un géant vraiment GRAND. » (p. 3)
« Des araignées… C’est le repas préféré de Léon. » (p. 5)
« Parce que Myrtille n’est pas juste une araignée très petite et très poilue. » (p. 10)
« D’habitude, les araignées meurent de peur dès que Léon approche. Elles tombent raides mortes. » (p. 8)
« Léon est un géant. Un gentil géant, mais un vrai géant. Un géant vraiment GRAND. » (p. 3)
« Léon aime toutes les araignées : les grandes maigres comme les petites poilues. » (p. 6)
« Léon riait. Et riait. Et riait encore. Il riait tellement qu’il avait mal au ventre. Il riait tellement qu’il n’arrivait plus à respirer. » (p. 12)
