Chouchou perd patience à attendre que les carottes poussent. Le jardin du voisin lui paraît bien plus appétissant. Il décide de s’y rendre, mais il apprendra très vite que tout a un prix…
(Adapté de la quatrième de couverture du livre.)
« Chouchou est très impressionné.
Devant chaque maison, il découvre des fleurs et des arbustes.
Et dans les cours, des potagers miniatures.
Tout a l’air délicieux : un paradis pour les lapins! » (p. 7)
« Mais Coton n’est pas rassurée. Tout a l’air trop facile…
Elle regarde Chouchou qui lui fait signe de la patte et l’invite à le rejoindre dans un parterre de fleurs.
C’est vrai qu’elles ont l’air appétissantes… » (p. 11)
« Tous les jours un petit garçon et une petite fille jouent avec lui.
Ils le prennent pour le cajoler, mais ils le remettent chaque fois dans la cage.
Dans la cage, Chouchou s’ennuie terriblement. » (p. 19-20)
« Chouchou l’avertit :
– Va-t’en Coton! Je ne veux pas qu’on t’attrape aussi…
– Et tu crois que je vais te laisser là? » (p. 25)
« En voyant des lapins gambader au loin, les enfants réalisent que la cage n’était pas le meilleur endroit pour un lapin. » (p. 31)
« Chouchou hésite encore :
– Mais viens, Coton! Tu vas voir comme elles sont bonnes ces fleurs violettes! » (p. 14)
« Alors qu’il lui crie, "OÙ VAS-TU?", il est brutalement tiré par les oreilles et soulevé de terre.
Puis Chouchou ne voit plus rien. » (p. 15)
« Fatigués d’attendre que les carottes poussent dans le potager de la fermière, Chouchou et Coton se promènent dans un quartier où il y a beaucoup de maisons. » (p. 6)
« – Oh! Regarde Coton! s’exclame Chouchou. On pourrait venir manger ici tous les jours en attendant que les légumes poussent. » (p. 10)
« On le sort du sac en le tirant de nouveau par les oreilles : il est maintenant dans une cage.
Chouchou passe ainsi plusieurs jours emprisonné.
Malgré tout, il est bien traité. On lui donne souvent à boire et à manger. » (p. 18-19)