Bonbons assortis au théâtre
Lorsque Michel Tremblay ouvre la boîte des bonbons assortis de son enfance, il donne à déguster de succulentes scènes qui sont des bonheurs de souvenirs […]
En évoquant les « Nowells » de son enfance et d’autres épisodes qui ont marqué sa jeunesse, il montre en même temps, dans de savoureux dialogues, comment s’est formée l’extrême sensibilité de son écriture à travers les filets de la mémoire trompeuse.
Des bonbons mous, des durs, des fondants, des caramélisés, toujours des gourmandises remplies d’émotion pure.
(Tiré de la quatrième de couverture du livre.)