2À la dérive
Rejetée par son père qui l’empêche d’aller à l’école, Sylvia se tourne vers sa mère qui comble sa soif d’apprendre en attendant de lui procurer une chaussure magique lui permettant de se déplacer sans clopiner. Dévorée de jalousie, une de ses sœurs lui ferme la porte de sa résidence parce qu’elle préfère la voir dans un rôle de servante. Au moment où Sylvia va réaliser le rêve de sa vie, la méchanceté d’Hélène la conduit au bord du gouffre. Grâce à l’affection des siens, Sylvia ne se laisse pas aller à la dérive, tandis que de son côté, Hélène brise toutes amarres et s’en va à vau-l’eau sur bâbord et sur tribord.
(Tiré de la quatrième de couverture du livre.)