Le violon de mon père chante encore
Tout se situe entre deux passages de train. Le train symbole d’évasion et le train du midi qui emporte le rêve. À une époque où le temps était linéaire, le jeune homme vit dans l’attente de l’imprévu, du temps neuf.
Autant que l’histoire d’une famille, voici l’histoire du village de Moose-Creek où de nombreux personnages reprennent vie, où est raconté le drame de « Moineau », où chante encore le violon qui comblait la solitude des grandes soirées.
La logique du développement est celle de l’évocation spontanée des souvenirs et des sentiments. Les récits s’apparentent aux contes où se retrouvent humour, mystère, scènes de séparations et piété filiale.
(Tiré de la quatrième de couverture du livre.)