Fiche descriptive
C’est moi, Amandine! Un jour, je l’espère, je serai cuisinière, et même boulangère-pâtissière! Seulement voilà. J’ai un petit problème. Comme mes parents me le répètent souvent, ce n’est pas suffisant d’avoir du talent. Il faut aussi bien connaître ses mathématiques… Heureusement, j’ai une solution! Amandine adore la cuisine!
Aperçu
(Tiré de la quatrième de couverture du livre.)Contenu
« - Oh, ma belle maman! Te voilà enfin!
Elle se penche et me fait un gros câlin. Je plonge ma tête dans ses cheveux. Aujourd’hui, ils sentent la pomme. Hier, c’était la vanille. Demain, peut-être la fraise. Ma maman sent toujours bon. » (p. 6)
« Chez nous, on est tous des lève-tôt. Papa est le premier à sauter sur ses pieds. Avant que le soleil ne se lève, il enfourche sa bicyclette pour se rendre à la boulangerie-pâtisserie. C’est qu’il doit commencer son boulot de bonne heure, mon petit papa. C’est lui le chef pâtissier et le patron. » (p. 23-24)
« Quant à moi, je suis des cours de vocabulaire, de pâtisserie, de service à la clientèle et de… mathématiques!
Et tout ça, je l’étudie à la boulangerie-pâtisserie. C’est là que j’apprends le nom des ingrédients, des ustensiles et des récipients. C’est là que j’apprends à battre des œufs en neige et à beurrer des moules à madeleines. C’est là que j’apprends la politesse et le sourire, ça fait marcher les affaires. C’est aussi là que j’apprends à trier, à classer, à dénombrer, à mesurer, à additionner, à soustraire, à multiplier et même à diviser! » (p. 99-101)
« Qu’est-il arrivé à monsieur Miller, me direz-vous? C’est vrai que je le trouvais un peu bizarre avec son air d’acteur américain. Mais il est réellement très gentil. Et mes parents disent qu’il est un excellent homme d’affaires. » (p. 103)
« Maman et moi, nous saluons tout le monde : employés et clients. Sans tarder, maman met une résille sur sa tête pour bien couvrir ses cheveux. Brigitte et Marion, qui servent les clients derrière le comptoir, portent aussi ce petit filet. Moi, je préfère enfiler ma toque blanche et mon tablier blanc sur lesquels maman a brodé mon prénom en rose bonbon. Je ressemble à une vraie petite cuisinière! » (p. 36-37)Présentation
Langue
- C’est un fraisier à cinq étages. Peux-tu deviner ce qu’il y a dedans, Amandine?
Je réfléchis un peu.
- Génoise, fraises et… crème pâtissière à la vanille?
- Bravo! Tu y es presque. Crème mousseline, précise papa avec un large sourire.
- Et la figurine avec les deux mariés? Tu l’as oubliée?
- Eh bien, figure-toi, ma grande, que les mathématiques sont bien utiles quand on livre les gâteaux aux clients, dit papa, l’air sérieux tout à coup. » (p. 72-74)
« Je salive en attendant que maman y dépose ma petite gâterie du jour. Je pense déjà au délice qui viendra me chatouiller le palais dans quelques minutes. Crémeux et doux? Chocolaté et fondant? Fruité et croustillant?
Mes oreilles entendent le son du sac en papier que maman s’apprête à ouvrir. Mon nez retroussé cherche à reconnaître l’arôme qui va s’en dégager.
- Voilà, devine ce que c’est! » (p. 7-9)
« Je n’ai aucune envie de discuter en anglais, là tout de suite, devant tout ce beau monde. Soudain, j’ai la gorge sèche. Monsieur Miller continue à me parler.
- Eh bien, je suis sûr que tu pourras m’aider à améliorer mon français!
Ouf! Je respire mieux.
C’est lui l’élève et moi l’enseignante. Super! Ce jeu est beaucoup plus chouette. Il commence à me plaire, ce monsieur Miller. » (p. 87-88)
« Juste en dessous se cache la crème citronnée, jaune comme un soleil éclatant. Miam! » (p. 14-15)
« À peine quelques secondes et Drrring! Je m’empresse de décrocher. Je réponds avec mon grand sourire. Parce que le sourire, on peut le voir. Mais on peut aussi l’entendre. » (p. 45)
« - Dans ce cas, je vous conseillerais… un éclair au chocolat qui fond dans la bouche, un mini-clafoutis aux fruits des bois, un millefeuille bien croustillant, une tarte succulente à la frangipane et, ma pâtisserie préférée, une tartelette aux pommes et à la cannelle. On vous met tout ça dans une boîte, monsieur Miller? » (p. 93-94)
« Au travail! Je découpe un papier cartonné en rectangles. J’enlève une vieille étiquette graisseuse de son porte-étiquette. À l’aide d’un crayon feutre, je recopie le nom de la viennoiserie sur un carton. Ensuite, j’écris deux chiffres, une virgule, un autre chiffre et le signe du dollar. Voilà une première étiquette prête à utiliser : Croissant nature 14,5 $
Toute fière, je montre mon étiquette à maman qui tape à toute vitesse sur les boutons de la caisse enregistreuse.
- Oh, oh! La virgule n’est pas à la bonne place, Amandine! s’exclame maman. » (p. 54-55)
« Mes yeux parcourent la pièce. Les apprentis de papa sont absorbés par leurs diverses tâches. Certains remplissent des moules avant de les enfourner. D’autres épluchent et tranchent des fruits pour confectionner des tartes. Finalement, mon regard se pose sur un beau gâteau, presque aussi grand que moi et de la même couleur que mon tablier et ma toque. Blanc avec une touche de rose. » (p. 70-72)
« - Papa a une grosse commande pour un mariage aujourd’hui. Laisse-le finir la pièce montée et les petits fours. Tu iras le retrouver plus tard. D’accord?
- D’accord, maman. Est-ce que je peux t’aider à la caisse?
- Non. Pas maintenant. Il y a trop de monde. Ça va aller plus vite si je le fais toute seule.
- Est-ce que je peux servir les clients?
- Pas tout de suite, chérie. Marion et Brigitte s’en occupent.
- Alors, est-ce que je peux prendre des commandes au téléphone?
- Bonne idée, Amandine! » (p. 42-44)
« Avant de partir, il lui dit qu’il aimerait aussi rencontrer papa quand celui-ci sera moins occupé.
- Je voudrais parler affaires avec vous deux, précise-t-il.
Maman hoche la tête.
- Nous serons ravis d’en discuter avec vous, monsieur Miller. Revenez lundi matin.
- C’est noté chère madame. Au revoir!
- Au revoir, monsieur Miller! disons en chœur les trois dames et moi, la plus jeune demoiselle de la boulangerie-pâtisserie Amandine. (p. 96-98)Pistes d'exploitation
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