Fiche descriptive
Depuis quelque temps, la vie de Marie-Pierre semble tourner au cauchemar. Les appels anonymes se multiplient, des objets personnels disparaissent autour d'elle... Il lui semble même que quelqu'un s'est introduit dans sa chambre. Le pire, c'est que tout le monde croit qu'elle exagère. Se pourrait-il qu'on lui veuille du mal ou est-ce plutôt le fruit de son imagination? À qui peut-elle faire confiance?À fleur de peau
Aperçu
Aidée de Loulou et David, l'adolescente tentera de faire elle-même la lumière sur ces mystérieux événements. Une enquête qui leur réserve bien des surprises, et surtout, de grands frissons. Un thriller enlevant!
(Tiré de la quatrième de couverture du livre.)Contenu
« Tout à coup, j’entends du bruit venant de ma chambre. Tous les nerfs de mon corps se crispent. » (p. 22)
« - David, ma mère est déjà assez préoccupée ces temps-ci! […] pas question de l’inquiéter avec ça. D’ailleurs, c’est peut-être juste un farceur qui s’amuse à mes dépens. Il n’y a pas de quoi paniquer. » (p. 25)
« David, Loulou et moi avons décidé de commencer notre enquête cet après-midi. » (p. 53)
« - Ah oui! J’allais oublier, maman. Steven t’a appelée.
- Steven?
Ma mère fronce les sourcils. J’ai même l’impression qu’elle blêmit. » (p. 39)
« Loulou note dans son cahier : "Premier suspect : Pascal Léveillé." » (p. 58)
« Et soudain, tout devient clair. Bien sûr, qui d’autre? Si ce n’est pas Léveillé, ce ne peut être que son fidèle Pierrot… » (p. 97)
« - Pierre-Luc, ce n’est pas un comportement normal, en tout cas. Tu n’es pas fou, mais c’est dangereux d’agir comme tu l’as fait. » (p. 116-117)
« Un des agents se dirige vers nous. Il se penche :
- Ça va aller?
- Oui… Oui, je l’espère. Qui est-ce?
Je pointe un doigt craintif vers l’homme menotté qu’ils emmènent.
- Luc Steven. Le frère de Paul. » (p. 129)
« Les coups de téléphone ne m’inquiétaient pas trop; mais des appels anonymes et une heure après, cette fenêtre ouverte… » (p. 23)
« Je retiens mes larmes. Ce n’était qu’une mauvaise piste. Ce n’est pas Léveillé. Mais qui alors? QUI? La question reste évidemment sans réponse. » (p. 79)
« Sur mon miroir, des lettres rouges :"Tiens-tu à ta fille? Je tiens à mon frère!" D’un seul coup, je comprends tout : ce n’est pas à moi qu’on en veut, c’est à ma mère! » (p. 127)
« Ma gorge se serre. Il me semble sentir quelque chose dans la pièce, une présence inhabituelle… Je me retourne lentement, cherchant à voir malgré l’obscurité. Je tends la main vers ma table de nuit et je frôle… je frôle… Non, je ne rêve pas, c’est bien de la peau, une main, je crois. » (p. 34-35)
« Suzanne a crié. Elle, toujours si douce, m’arrache l’enveloppe des mains. » (p. 51)
« - Et puis, Marie-Lune, qu’as-tu perdu aujourd’hui? » (p. 27)
« - Bonjour, ma douce! fait David. » (p. 42)
« - Tout de même… Je ne serais pas surprise que ce soit Léveillé qui tente de m’effrayer. » (p. 30)
« Ce n’est pas trop demander, non?! » (p. 50)
« Triomphante, je lui montre le dos de l’enveloppe. Sur le rabat, un simple nom est écrit en grosses lettres : STEVEN. » (p. 51)
« - Nouveau look, ma Loulou? » (p. 122)
« - Loulou, il y a quelqu’un dans la chambre de Suzanne… Je te laisse. Je dois aller voir.
- Marie, tu es folle! Ne va pas là toute seule. Sors de la mai… » (p. 125)
« Sur le miroir, en grosses lettres rouges, on a écrit : "Je te tuerai!" » (p. 126) Langue
« - Pff! N'importe qui toi-même, Loulou! » (p. 29)
« - Ta gueule, Léveillé! » (p. 96)
« Tout le monde sort de la classe en courant. Nous récupérons nos dictionnaires et retournons illico dans le local. » (p. 13)
« - Voyons, Marie-Folle, va te faire soigner! L'hystérie, à ton âge, ce n'est pas drôle. Tu deviens parano ou quoi? » (p. 44)
« Ce soir, je prends congé. Je l'ai bien mérité. Pas d'étude, pas de révision. » (p. 15)
« - Ne rentre pas trop tard! Et ne t'épuise pas au travail. » (p. 17)
« - Les rôles sont inversés, non?! Ma fille me fait la leçon! » (p. 18)
« - Qu'est-ce qui se passe, Marie? Réponds! » (p. 35)
« - Toi, mon ange, la solitude ne te fait pas peur? » (p. 19)
« Je mets ma main sur la poignée. Elle est glacée. À moins que ma main ne soit brûlante. » (p. 22)
« Incapable de me retenir plus longtemps, je me mets à sangloter comme un bébé. » (p. 44)
« - […] Vive le soleil, les fleurs, la couleur, tu comprends? » (p. 54)
« Loulou, en véritable moulin à paroles qu'elle est, ne me laisse pas le temps de placer un mot. Ce n'est pas une fille, c'est une tornade qui entre dans la maison. » (p. 55)
« - […] Rassure-toi, ma grande : je n'en parlerai pas. Motus et bouche cousue! » (p. 76)
« Aujourd'hui, fidèle à sa réputation, elle porte une jolie robe fuchsia, fleurie, vaporeuse, et un collant vert à rayures. Des bottes brunes à talons hauts, une série de bracelets au bras gauche et un bandeau bleu posé sur ses cheveux roux et ras complètent sa tenue… Inimitable et adorable Loulou! » (p. 10)
« - Hé, Marie-Chose, tu traînes ta doudou maintenant? […]
- Certains gardent toutes sortes de souvenirs de leur enfance : des toutous, des doudous, n'importe quoi. Toi, Léveillé, tu as choisi de garder le même quotient intellectuel, c'est ça? » (p. 11)
« Je me lève, m'étire et me dirige vers la cuisine. J'allume la lumière, sors des verres. Le tonnerre gronde toujours et fait un vacarme infernal. Tout à coup, toutes les lumières s'éteignent. Au même instant, j'entends un cri, un hurlement presque, qui me glace le sang. Quelqu'un s'est-il introduit dans la maison pour couper le courant? Loulou a-t-elle crié parce qu'elle est en danger? » (p. 33)Pistes d'exploitation
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