Fiche descriptive
Comment en arrive-t-on à manger un éléphant? Et bien on y arrive un peu comme on en arrive à escalader le mont Everest : une bouchée à la fois… un pas à la fois. Le livre que vous tenez entre les mains vous fera vivre le rêve géant, dévorant, éléphantesque, qui a porté Jean-François Carrey jusqu’au sommet de l’Everest, à 8 850 mètres au-dessus de la mer. Il vous amènera à réfléchir sur vos rêves et vos ambitions. Une aventure qui vous promet de multiples surprises sur les prouesses de ce jeune Canadien qui a touché le sommet du mont Everest. (Tiré de la quatrième de couverture du livre.)8850
Aperçu
Contenu
« Prêt, pas prêt, j’y vais! Mais je suis prêt. Je le sais, je le sens. Je suis tenace. Mon rêve est mon guide. Il ne me lâchera pas. Je ne lâcherai pas non plus. Ma volonté va me porter tout en haut de ce sommet qui m’aspire et m’intimide à la fois, mais rien n’est insurmontable, j’en suis convaincu. » (p. 57)
« À chaque tournant, je me découvrais des forces et des faiblesses. Mes plans d’avenir se précisaient et j’étais de plus en plus décidé à suivre cette route qui se dessinait toujours plus précisément droit devant moi. » (p. 31)
« …ce jour-là à 5 h 10 du matin, le soleil s’est levé au pied de la déesse, éblouissant, comme pour me dire en plein visage que je venais de réaliser mon rêve le plus ambitieux qui remontait à tant d’années, l’escalade de l’Everest. À cheval sur sa crête, je devenais un chevalier de l’an 2006 qui avait compris et qui tenterait de faire comprendre à d’autres qu’il est possible de réaliser ses ambitions les plus extravagantes. C’est la mission que je me donnais. » (p. 10)
« J’ai énormément apprécié la conversation avec ma mère. Elle ne m’a pas dit qu’elle s’inquiétait. Elle ne m’a pas dit d’être prudent. Elle ne m’a pas dit de revenir à la maison si je souhaitais abandonner l’expédition. Au contraire, elle m’a fortement encouragé à continuer, à foncer, à rester fort et solide. » (p. 101)
« Je suivais ainsi ma route d’une merveille naturelle à une autre et rien n’allait plus m’arrêter, j’en étais convaincu et surtout résolu. » (p. 31)
« J’aime me sentir minuscule dans le vaste infini. » (p. 127)Langue
« L’escalade très à pic exige un maximum d’efforts physiques. Tout à coup, panne d’oxygène. Je respire mal. L’oxygène ne passe plus. Sans doute que de la glace s’est formée à l’intérieur du conduit. Il fait maintenant -50 °C. Vite, trouver une solution. M’en sortir, mais comment? » (p. 117)
« Un pas pour Marie-Pierre… un pour Martin… un pour Étienne… Encore une heure et j’y serai. » (p. 118)
« Six pas… Le sommet attend patiemment. Quatre pas encore. Il est 5 h. » (p. 119)
« …il fallait sortir à -20 °C d’une tente et gigoter comme une barbote au bout d’un hameçon pour tâcher de se réchauffer. » (p. 41)
« J’avais 12 ans et je me proposais de manger un éléphant. C’est mon ami Martin qui me convaincra plus tard, au secondaire, de ceci : un éléphant, ça se mange tout simplement une bouchée à la fois! » (p. 15)
« Le soir de la quatrième journée, le ciel s’est complètement dégagé pour nous montrer les impressionnantes montagnes recouvertes d’épaisses masses de neige. Un décor merveilleux composé de toute cette blancheur et de tous ces pics superposés à perte de vue comme de grands fantômes blancs. » (p. 96)
« Entre les sommets, des tapis de beaux nuages blancs ressemblent à des peaux de mouton qui onduleraient dans le ciel. En bas, le soleil frappe les montagnes en créant des contrastes de jaune or et de noir sur les sommets et les flancs de montagnes. Des kilomètres et des kilomètres de sommets enneigés. Et, par-dessus tout, la courbe de la Terre qui se dessine à l’horizon! » (p. 119)Pistes d'exploitation
Conseils d'utilisation