Fiche descriptive
Les bébés, c'est bien connu, ça pue! En plus, ça pleure tout le temps! C'est évident : il n'y a pas de place pour un pareil monstre à la maison. Marie-Cléo, ma petite peste de sœur de quatre ans et demi, me crée déjà suffisamment d'ennuis. D'un autre côté, ma douce Katarina semble en admiration devant Henri, depuis qu'il montre à tout le monde la photo de sa future petite sœur...Alexa Gougougaga
Aperçu
Cette histoire désopilante réjouira les lecteurs de la série Alexis, toujours avides de rebondissements et de fous rires.
(Tiré de la quatrième de couverture du livre.)Contenu
« J'en ai tellement envie que ça ne me dérange presque pas qu'on emmène aussi ma petite horreur de sœur. Marie-Cléo! Une catastrophe de quatre ans et demi à deux pattes. » (p. 8-9)
« D’habitude, mes parents ont juste l’air de deux parents. Ce soir, ils avaient plutôt l’air de deux amoureux. » (p. 15-16)
« Et puis subitement, en un éclair, j'ai compris. Leur projet, ce n'était pas un bébé. C'était Disney! » (p. 57)
« - Va réfléchir dans ta chambre, Alexis! avait lancé papa de sa plus grosse voix. La prochaine fois, tu y penseras avant de faire des dégâts. » (p. 45)
« - Bonzour, le bébé! Bonzour, le zentil bébé! Alexzis! Dis bonzour au bébé. » (p. 48)
« J'aurais presque voulu avoir une autre horreur de sœur, juste pour que Katarina me regarde comme ça. » (p. 13)
« Et puis soudain, le bébé a ouvert les yeux. Il m'a regardé en fronçant les sourcils. J'ai eu très peur qu'il se mette à brailler. Mais non. Au lieu de ça, il m'a souri. Et, franchement, c'était une des plus jolies choses que j'aie jamais vues. » (p. 51)Langue
« - Beurk! Dégueu! ont gémi en chœur Lauralie et Émilie. » (p. 24)
« Pour m'encourager, j'ai repensé à tout ce que William avait raconté. Et je me suis imaginé avec une machine à crottes dans les bras. » (p. 30-31)
« - Tu [la maman] as raison, mon amour, disait maintenant papa. Surtout qu'Alexis est nerveux depuis quelque temps. On n'ira pas à Disneyworld cette année. » (p. 57)
« Mon ami Henri m'énerve souvent. Et c'est toujours pour la même raison. Monsieur se pense bon! » (p. 7)
« Marie-Cléo a hurlé, supplié, tapé du pied, mais je n'ai pas cédé. » (p. 28)
« La pâte avait gonflé et gonflé et gonflé encore. Puis elle avait débordé et débordé et débordé encore. » (p. 43)
« C'est là que Marie-Cléo est sortie de sa cachette sous le lit en riant comme une otarie. » (p. 60)Pistes d'exploitation
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